Nous tournions ce Samedi 30 Novembre la 4ème série d'exercices OuViPo, au Studio Albatros à Montreuil.
Nous avons convié, à différents horaires, trois réalisateurs (Julien Beaunay, Marion Buannic et Marc Lahore), et ils se sont vus imposer un décor, deux comédiens (Diane Montcharmont et Jean Fornerod), et un texte de Roland Topor, qu'ils ont découvert le jour-même et ont dû mettre en scène suivant plusieurs contraintes, dans une durée limitée de 3 heures.
Ils ont bénéficié de l'aide précieuse de Nicolas Yacazzi (cadre/image), Yann Gadaud (cadre/image), Romain Magloire (son) et Judit Escoda (assistanat-réalisation/production) pour les accompagner dans la réalisation de cet exercice périlleux, Julien Savès s'occupant de chapeauter l'ensemble et David Marques d'en filmer les coulisses.
Ils ont bénéficié de l'aide précieuse de Nicolas Yacazzi (cadre/image), Yann Gadaud (cadre/image), Romain Magloire (son) et Judit Escoda (assistanat-réalisation/production) pour les accompagner dans la réalisation de cet exercice périlleux, Julien Savès s'occupant de chapeauter l'ensemble et David Marques d'en filmer les coulisses.
Description détaillée de l'exercice :
4ème SERIE OuViPo / EXERCICE du 30 NOVEMBRE 2013 au 30 AVRIL 2014
PROPOSITION
NARRATIVE FORMELLE
Pour cette quatrième
série de vidéos OuViPo, nous avons choisi de partir d’un texte imposé, transmis
aux réalisateurs participants à l’exercice, le jour même du tournage.
Chaque réalisateur
dispose d’un temps défini (3h) pour découvrir ce texte et le mettre en scène à
sa façon, en dirigeant deux comédiens qui auront eu connaissance du texte en
amont.
De plus, ils
bénéficieront chacun de l’aide d’un comparse attitré (appelé +1) qui pourra les
seconder durant ses trois heures. Si l’un des réalisateurs souhaite toutefois
ne pas avoir de +1, c’est possible.
Nous appellerons
cet exercice : une Rolande.
LISTE
DE CONTRAINTES
1.
L’œuvre produite doit faire une
boucle entre la première et la dernière image du métrage.
2.
La durée de l’œuvre ne doit pas
excéder les 5min.
3.
Les deux acteurs choisis pour
l’interprétation doivent impérativement se retrouver dans le film.
4. Le texte imposé peut subir une
adaptation libre pour le film, mais doit quand même être respecté au niveau du
sens qu’il véhicule.
5.
Interdiction de dépasser le
chiffre des 30 plans tournés.
6. L’idée de chaos, de rupture ou une
référence quelconque à quelque chose de « cassé » doit figurer dans
l’œuvre pour rappeler l’entité Broken. Cela doit également être pleinement
justifié de manière narrative.